De passage

De passage

Sous le ciel d’azur, où l’aube s’étend,
Les rêves s’éveillent au souffle du vent.
Le monde frissonne, fragile et léger,
Sous chaque étoile, un secret à partager.

Les rivières murmurent des mots d’antan,
Les arbres dansent en silence, lentement.
Le temps s’arrête, suspendu au fil de l’eau,
Dans ce paysage, tout semble si beau.

L’ombre et la lumière jouent leur ballet,
Tantôt l’une, tantôt l’autre, en parfait allié.
La nature, en silence, raconte sa sagesse,
D’un éclat fugace, d’une éternelle tendresse.

Et nous, humains, perdus dans notre quête,
Cherchons dans l’instant ce qui jamais ne s’arrête :
Un souffle, une lueur, une main à tenir,
Un poème gravé dans l’infini du devenir.

Dans le matin doux où tout se révèle,
Les ombres frémissent, les cieux sont sans égales.
Le vent porte des secrets, chuchote des noms,
Et les fleurs s’épanouissent
au rythme des saisons.

La mer, silencieuse, murmure au sable chaud,
Chantant des histoires d’amour et de fléaux.
Les vagues s’élèvent, s’écrasent, se dissipent,
Dans une danse infinie, un ballet épique.

Sous les cieux de l’âme, le temps s’étire,
Chaque instant devient une étoile à conquérir.
Et dans l’écho des montagnes, la vérité s’élance,
Un souffle de liberté, une tendre délivrance.

Là, dans l’ombre douce d’un soir sans fin,
Je cherche ta voix, ton regard serein.
Et le monde, suspendu, semble nous entendre,
Deux êtres perdus, à la beauté tendre.

Au creux de la nuit, où tout se confond,
Les étoiles tissent des rêves profonds.
Le silence parle en mille murmures discrets,
Et chaque souffle du vent est un secret.

La lune, complice, éclaire l’invisible,
Fait danser les ombres d’un pas indicible.
Les arbres s’inclinent, témoins silencieux,
De l’infini mystère caché sous nos yeux.

Un oiseau solitaire, dans le ciel pur,
Trace une ligne d’argent, frêle et sûre.
Et moi, sous ce ciel où tout semble suspendu,
Je cherche ton nom, doux et inconnu.

Le monde tourne, inlassable et fidèle,
Mais dans ton regard, tout devient essentiel.
Un instant suffit, une lueur, une empreinte,
Pour que l’éternité s’épanouisse sans feinte.

Dans l’ombre du soir, les étoiles se dessinent,
Telles des perles tombées d’une main divine.
Le vent caresse la mer, et l’âme s’élance,
Portée par l’écho d’une douce cadence.

Les cieux se parent de nuances infinies,
D’or et de pourpre, de rouge et d’améthyste,
Chaque nuage, chaque rayon, chaque brise
Chante la mélodie d’un monde en harmonie.

La terre, silencieuse, respire doucement,
Ses racines plongent dans l’invisible, lentement.
Et moi, voyageur de l’instant et des rêves,
Je cherche un chemin que le temps n’achève.

Les rires s’éteignent, les voix s’éloignent,
Mais l’amour, lui, toujours, s’épanouit, rêve.
Dans un souffle léger, dans une tendre lueur,
Il devient l’infini, l’étoile, la fleur.

Sous le voile d’argent de la nuit infinie,
Le monde se tait, comme une douce symphonie.
Les montagnes frémissent sous l’étreinte du vent,
Et le silence danse, léger et flottant.

Les rivières murmurent des promesses anciennes,
De terres lointaines, de fêtes sereines.
Chaque goutte d’eau, chaque rayon de lune,
Éclaire un rêve, suspendu, une fortune.

La brise effleure la peau des arbres,
Qui murmurent des secrets, comme un livre
sans marbre.
Leurs racines touchent l’âme des cieux,

J’avance seul, mais l’univers me guide,
Dans l’invisible, dans l’éternelle valse timide.
Car dans chaque étoile, chaque souffle, chaque pierre, Je trouve un reflet de l’infini, un peu de lumière.

Aisselle citoyen, formez vos ceinturons !